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Dossier : Géneral

Tous les événements non lus pour le dossier Géneral

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Comment les techno-fascistes travaillent à transformer Gaza en ville-entreprise

RSS | Usbek & Rica par Anonyme le 18/09/2025 à 16:05:00 - Favoriser (lu/non lu)

BONNES FEUILLES // Dans leur essai Apocalypse Nerds : comment les technofascistes ont pris le pouvoir à paraître vendredi 19 septembre aux éditions Divergences, les journalistes Nastasia Hadjadji (collaboratrice régulière d'Usbek & Rica) et Olivier Tesquet, journaliste chez Télérama, décortiquent comment la Silicon Valley, longtemps perçue comme bastion progressiste, est devenue le laboratoire d'un autoritarisme ultralibéral et sécessionniste, teinté de transhumanisme. En voici un extrait.
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On sait enfin ce que demandent les gens à ChatGPT (spoiler, ça n’a souvent rien à voir avec le travail)

RSS | Usbek & Rica par Anonyme le 18/09/2025 à 12:10:00 - Favoriser (lu/non lu)

Dans une récente étude, OpenAI a analysé des milliers de messages envoyés à son célèbre chatbot pour savoir comment s'en servent (vraiment) ses utilisateurs. Aide à l'écriture, moteur de recherche, résolution de problèmes... On a sélectionné pour vous les six usages les plus marquants de ChatGPT.
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De la mystification de la Grande Idée

ploum.net par Ploum le 18/09/2025 à 02:00:00 - Favoriser (lu/non lu)

De la mystification de la Grande Idée

et de la négation de l’expérience

Festival Hypermondes à Mérignac

Je dédicacerai ce samedi 20 et dimanche 21 septembre à Mérignac, dans le cadre du festival Hypermondes. Je participe également à une table ronde le dimanche. Et pour tout vous dire, j’ai sacrément le trac, car je serai entouré de noms qui peuplent ma bibliothèque et dont j’ai lu et relu les livres : Pierre Bordage, J.C. Dunyach, Pierre Raufast, Catherine Dufour, Laurent Genefort… Sans oublier Shuiten et Peeters, qui ont marqué mon adolescence et surtout, mon idole, le plus grand scénariste BD de ce siècle, Alain Ayrolles (parce que pour le siècle précédent, c’est Gosciny).

Bref, je me sens tout petit au milieu de ces géants alors n’hésitez pas à venir me faire un coucou pour que je me sente moins seul sur le stand !

La mythologie de l’idée

Dans le film « Glass Onion » (Rian Johnson, 2022), un milliardaire de la Tech, parodie de ZuckerMusk, invite des amis sur son île privée pour une sorte de cluedo géant. Qui dégénère évidemment lorsqu’un véritable crime est commis.

Ce que j’ai beaucoup aimé dans ce film, c’est l’insistance sur un point trop souvent oublié : ce n’est pas parce qu’on est riche et/ou célèbre qu’on est intelligent. Et ce n’est pas parce qu’on arrive à faire croire au public qu’on est surintelligent, au point de le croire soi-même, qu’on l’est réellement.

Bref, c’est une belle remise à leur place du monde des milliardaires, des influenceurs, starlettes et tout ce qui gravite autour.

Néanmoins, un point particulier m’a chagriné : toute une partie de l’intrigue repose sur savoir qui a eu le premier l’idée de la startup qui fera le succès du milliardaire, idée qui est littéralement griffonnée sur une serviette en papier.

C’est très amusant dans le film, mais comme je l’ai déjà dit : une idée seule ne vaut rien !

L’idée n’est que l’étincelle initiale d’un projet, mais le résultat final sera impacté par les milliers de décisions et d’adaptations prises en cours de route.

Le rôle de l’architecte

Si vous n’avez jamais fait construire de maison, vous pensez peut-être que vous décrivez la maison de vos rêves à un architecte. Celui-ci vous propose un plan. Vous validez, les ingénieurs et les ouvriers s’emparent du plan et la maison se construit.

Sauf qu’en réalité, vous êtes incapable de décrire la maison de vos rêves. Vos intuitions sont toutes contradictoires. Ce que j’appelle le syndrome de « la maison de plain-pied sur deux étages ». Et quand bien même vous avez réfléchi en profondeur, l’architecte va pointer tout un tas de problèmes pratiques avec vos idées. De choses auxquelles vous n’avez pas pensé. C’est très joli toutes ces vitres, mais comment allez-vous les entretenir ?

Il va falloir faire des compromis, prendre des décisions. Et une fois le plan validé, les décisions continueront sur le chantier. À cause des imprévus ou des milliers de petits problèmes qui n’apparaissaient pas sur le plan. Voulez-vous vraiment un évier à cet endroit vu que la porte s’ouvre dessus ?

Au final, la maison de vos rêves sera très différente de ce que vous avez imaginé. Pendant des années, vous lui trouverez des défauts. Mais ces défauts sont des compromis que vous avez expressément choisis.

L’idée d’un roman

En tant qu’écrivain, il m’arrive régulièrement de me voir poser la question : « D’où te viennent toutes ces idées ? »

Comme si avoir l’idée était un problème. Des idées, j’en ai des centaines dans mes tiroirs. Le travail n’est pas d’avoir l’idée, c’est de faire le plan puis de transformer ce plan en construction.

J’ai plusieurs fois reçu des propositions de type : « J’ai une super idée pour un roman, je te la partage, tu écris et on fais 50/50 ».

Vous imaginez un instant arriver chez un architecte avec un truc griffonné et dire : « J’ai une super idée pour une maison, je vous la montre, vous la construisez, vous trouvez un entrepreneur et on partage » ?

Contrairement à Printeurs, que j’ai rédigé sans scénario préalable, j’ai écrit Bikepunk avec une véritable structure. Je suis parti d’une idée initiale. J’ai brainstormé avec Thierry Crouzet (nos échanges ont fait naître le fameux flash de l’histoire). Puis j’ai creusé les personnages. J’ai écrit une nouvelle dans cet univers (créant le personnage de Dale), j’ai ensuite travaillé la structure pendant un mois avec un tableau de liège sur lequel je punaisais des fiches. Enfin, je me suis mis à l’écriture. Bien des fois, je me suis retrouvé confronté à des incohérences, j’ai dû prendre des décisions.

Le résultat final ne ressemble en rien à ce que j’imaginais. Certaines scènes clé de mon synopsis se sont révélées, à la relecture de simples transitions. Des improvisations de dernières minutes semblent, au contraire, avoir marqué toute une frange de lecteurices.

Le code n’est qu’une série de décisions

Une idée n’est qu’une étincelle qui peut potentiellement se propager, se mélanger à d’autres. Mais, pour allumer un feu, la source initiale de l’étincelle compte bien moins que le combustible.

L’invention qui a mit cela en exergue est certainement l’ordinateur. Car un ordinateur est, par essence, une machine qui fait ce qu’on lui demande.

Exactement ce qu’on lui demande. Ni plus ni moins.

L’humain a été confronté au fait qu’il est extrêmement compliqué de savoir ce que l’on veut. Que c’est presque impossible de l’exprimer sans ambiguïté. Que cela nécessite un langage dédié.

Un langage de programmation.

Et maitriser un langage de programmation demande un esprit tellement analytique et rationnel qu’un métier s’est créé pour l’utiliser: programmeur, codeuse, développeur. Le terme importe peu.

Mais, tout comme un architecte, une programmeuse doit en permanence prendre des décisions qu’elle pense être les meilleures pour le projet. Pour l’avenir. Ou bien elle identifie les paradoxes pour en discuter avec le client. « Vous m’avez demandé une interface simple avec un seul bouton tout en me spécifiant douze fonctionnalités qui doivent avoir un accès direct avec un bouton dédié. On fait quoi ? » (cas vécu).

De la stupidité de croire en une IA productive

Ce que je dis paraît peut-être évident, mais lorsque j’entends le nombre de personnes qui parlent de « vibe programming », je me dis que beaucoup trop de monde a été bercé avec le paradigme de « l’idée magique » comme dans Onion Glass.

Les IAs sont perçues comme des machines magiques qui font ce que vous voulez.

Sauf que, quand bien même elles seraient parfaites, vous ne savez pas ce que vous voulez.

Les IA ne peuvent pas prendre correctement ces milliers de décisions. Des algorithmes statistiques ne peuvent produire que des résultats aléatoires. Vous ne pouvez pas juste émettre votre idée et voir le résultat apparaître (ce qui est le fantasme des crétins-managers, cette race d’idiots formés dans les écoles de management qui est persuadée que les exécutants sont une charge dont il faudrait idéalement se passer).

Le fantasme ultime est une machine « intuitive », qu’il ne faut pas apprendre. Mais l’apprentissage n’est pas seulement technique. L’expérience humaine est globale. Un architecte va penser aux problèmes de la maison de vos rêves parce qu’il a déjà suivi vingt chantiers et eu un aperçu des problèmes. Chaque nouveau livre d’un écrivain reflète son expérience avec les précédents. Certaines décisions sont les mêmes, d’autres, au contraire, sont différentes pour expérimenter.

Ne pas vouloir apprendre son outil, c’est la définition même de la stupidité la plus crasse.

Penser qu’une IA pourrait remplacer un développeur, se montrer sa totale incompétence quant au travail du développeur en question. Penser qu’une IA peut écrire un livre ne peut provenir de gens qui ne lisent pas eux-mêmes, qui ne voient que du papier imprimé.

Ce n’est pas que c’est techniquement impossible. D’ailleurs, beaucoup le font parce que vendre du papier imprimé, ça peut être rentable avec le bon marketing, peu importe ce qui est imprimé.

C’est juste que le résultat ne pourra jamais être satisfaisant. Tous les compromis, les décisions seront le fruit d’un aléa statistique sur lequel vous n’avez aucun contrôle. Les paradoxes ne seront pas résolus. Bref, c’est et ce sera toujours de la merde.

Un business, c’est bien plus qu’une idée !

Facebook n’était pas la première tentative de réseau social entre étudiants. Amazon n’était pas le premier site de vente de livre en ligne. Whatsapp était une application pour afficher sa disponibilité pour un coup de fil à ses amis. Instagram servait à la base à partager sa position. Microsoft n’avait jamais développé de système d’exploitation lorsqu’ils ont vendu la licence DOS à IBM.

Bref, l’idée initiale ne vaut rien. Ce qui a fait le succès de ces entreprises, ce sont les milliards de décisions prises à chaque instant, les réajustements.

Prendre ces décisions est ce qui construit le succès, fût-il commercial, artistique ou personnel. Croire qu’un ordinateur pourrait prendre ces décisions à votre place c’est faire preuve non seulement de naïveté, mais c’est également prouver totalement son incompétence dans le domaine concerné.

Dans Onion Glass, ce point m’a particulièrement chagriné, car poussé à l’absurde. Comme si une serviette avec trois traits de crayon pouvait valoir des milliards.

Ce petit quelque chose en plus

Et si je me réjouis de fréquenter tant d’auteurs que j’admire à Mérignac, ce n’est pas pour échanger des idées, mais m’imprégner de leurs expériences, de leur personnalité qui leur fait construire des œuvres que j’admire.

J’ai dû relire des dizaines et des dizaines de fois l’intégralité de « De capes et de crocs », le chef d’œuvre de Masbou et Ayrolles.

À chaque relecture, je savoure chaque case. Je sens que les auteurs s’amusent, se laissent porter, emporter par leurs personnages dans des bifurcations a priori imprévues, improbables. Quelle IA aurait l’idée de faire intervenir le caquètement d’un poulailler dans la complétion d’un alexandrin ? Quel algorithme se pavanerait de la césure à l’hémistiche ?

L’humain et son expérience auront toujours quelque chose en plus, quelque chose d’indéfinissable dont le mot m’échappe.

Ah si…

Quelque chose que, sans un pli, sans une tache, l’humain emporte malgré lui…

Et c’est…

— C’est ?

Son panache !

Je suis Ploum et je viens de publier Bikepunk, une fable écolo-cycliste entièrement tapée sur une machine à écrire mécanique. Pour me soutenir, achetez mes livres (si possible chez votre libraire) !

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Moscou dénonce l’intrusion du territoire de la Pologne sur la trajectoire de plusieurs drones

Le Gorafi.fr Gorafi News NetworkLe Gorafi.fr Gorafi News Network par La Rédaction le 12/09/2025 à 14:15:00 - Favoriser (lu/non lu)

Les autorités polonaises affirment que le pays retrouvé sur le trajet des appareils envoyés par la Russie ne visait pas l'espace aérien des drones envoyés par Moscou. Une version qui peine à convaincre le Kremlin.

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Gorafi Magazine : Qui pour succéder à Sebastien Lecornu ?

Le Gorafi.fr Gorafi News NetworkLe Gorafi.fr Gorafi News Network par La Rédaction le 12/09/2025 à 10:22:00 - Favoriser (lu/non lu)

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« Grande muraille » virtuelle : la Chine vend un kit de censure aux pays autoritaires

RSS | Usbek & Rica par Anonyme le 12/09/2025 à 09:01:00 - Favoriser (lu/non lu)

De la junte birmane aux autorités pakistanaises, les régimes autoritaires s’arrachent en secret les services de l'entreprise chinoise Geedge Networks, révèle une enquête portée par un consortium de médias et d’ONG. On vous explique.
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How I fell in love with calendar.txt

ploum.net par Ploum le 03/09/2025 à 02:00:00 - Favoriser (lu/non lu)

How I fell in love with calendar.txt

The more I learn about Unix tools, the more I realise we are reinventing everyday Rube Goldberg’s wheels and that Unix tools are, often, elegantly enough.

Months ago, I discovered calendar.txt. A simple file with all your dates which was so simple and stupid that I wondered 1) why I didn’t think about it myself and, 2) how it could be useful.

I downloaded the file and tried it. Without thinking much about it, I realised that I could add the following line to my offpunk startup:

!grep `date -I` calendar.txt --color

And, just like that, I suddenly have important things for my day everytime I start Offpunk. In my "do_the_internet.sh", I added the following:

grep `date -I`calendar.txt --color -A 7

Which allows me to have an overview of the next seven days.

But what about editing? This is the alias I added to my shell to automatically edit today’s date:

alias calendar="vim +/`date -I` ~/inbox/calendar.txt"

It feels so easy, so elegant, so simple. All those aliases came naturally, without having to spend more than a few seconds in the man page of "date". No need to fiddle with a heavy web interface. I can grep through my calendar. I can edit it with vim. I can share it, save it and synchronise it without changing anything else, without creating any account. Looking for a date, even far in the future, is as simple as typing "/YEAR-MONTH-DAY" in vim.

Recurring events

The icing on the cake became apparent when I received my teaching schedule for the next semester. I had to add a recurring event every Tuesday minus some special cases where the university is closed.

Not a big deal. I do it each year, fiddling with the web interface of my calendar to find the good options to make the event recurrent then removing those special cases without accidentally removing the whole series.

It takes at most 10 minutes, 15 if I miss something. Ten minutes of my life that I hate, forced to use a mouse and click on menus which are changing every 6 months because, you know, "yeah, redesign".

But, with my calendar.txt, it takes exactly 15 seconds.

/Tue

To find the first Tuesday.

i

To write the course number and classroom number, escape then

n.n.n.n.n.n.nn.n.n.n.nn.n.n.n.n.

I’m far from being a Vim expert but this occurred naturally, without really thinking about the tool. I was only focused on the date being correct. It was quick and pleasant.

Shared events and collaboration

I read my email in Neomutt. When I’m invited to an event, I must open a browser to access the email through my webmail and click the "Yes" button in order to have it added to my calendar. Events I didn’t respond show in my calendar, even if I don’t want them. It took me some settings-digging not to display events I refused. Which is kinda dumb but so are the majority of our tools those days.

With calendar.txt, I manually enter the details from the invitation, which is not perfect but takes less time than opening a browser, login into a webmail and clicking a button while waiting at each step the loading of countless of JavaScript libraries.

Invitations are rare enough that I don’t mind entering the details by hand. But I’m thinking about doing a small bash script that would read an ICS file and add it to calendar.txt. It looks quite easy to do.

I also thought about doing the reverse : a small script that would create an ICS and send it by email to any address added to an event. But it would be hard to track down which events were already sent and which ones are new. Let’s stick to the web interface when I need to create a shared event.

Calendar.txt should remain simple and for my personal use. The point of Unix tools is to allow you to create the tools you need for yourself, not create a startup with a shiny name/logo that will attract investors hoping to make billions in a couple of years by enshitifying the life of captive users.

And when you work with a team, you are stuck anyway with the worst possible tool that satisfies the need of the dumbest member of the team. Usually the manager.

With Unix tools, each solution is personal and different from the others.

Simplifying calendaring

Another unexpected advantage of the system is that you don’t need to guess the end date of events anymore. All I need to know is that I have a meeting at 10 and a lunch at 12. I don’t need to estimate the duration of the meeting which is, anyway, usually only a rough estimation and not an important information. But you can’t create an event in modern calendar without giving a precise end.

Calendar.txt is simple, calendar.txt is good.

I can add events without thinking about it, without calendaring being a chore. Sandra explains how she realised that using an online calendar was a chore when she started to use a paper agenda.

Going back to a paper calendar is probably something I will end up doing but, in the meantime, calendar.txt is a breeze.

Trusting my calendar

Most importantly, I now trust my calendar.

I’ve been burned by this before: I had created my whole journey to a foreign country on my online calendar only to discover upon landing that my calendar had decided to be "smart" and to change all events because I was not in the same time zone. Since then, I actually write the time of an event in the title of the event, even if it looks redundant. This also helps with events being moved by accident while scrolling on a smartphone or in a browser. Which is rare but happened enough to make me anxious.

I had the realisation that I don’t trust any calendar application because, for events with a very precise time (like a train), I always fall back on checking the confirmation email or PDFs.

It’s not the case anymore with calendar.txt. I trust the file. I trust the tool.

There are not many tools you can trust.

Mobile calendar.txt

I don’t need notifications about events on my smartphone. If a notification tells me about an event I forgot, it would be too late anyway. And if my phone is on silent, like always, the notification is useless anyway. We killed notifications with too much notification, something I addressed here :

I do want to consult/edit my calendar on my phone. Getting the file on my phone is easy as having it synchronised with my computer through any mean. It’s a simple txt file.

Using it is another story.

Looking at my phone, I realise how far we have fallen: Android doesn’t allow me to do a simple shortcut to that calendar.txt file which would open on the current day. There’s probably a way but I can’t think of one. Probably because I don’t understand that system. After all, I’m not supposed to even try understanding it.

Android is not Unix. Android, like other proprietary Operating System, is a cage you need to fight against if you don’t want to surrender your choices, your data, your soul. Unix is freedom: hard to conquer but impossible to let go as soon as you tasted it.

I’m Ploum, a writer and an engineer. I like to explore how technology impacts society. You can subscribe by email or by rss. I value privacy and never share your adress.

I write science-fiction novels in French. For Bikepunk, my new post-apocalyptic-cyclist book, my publisher is looking for contacts in other countries to distribute it in languages other than French. If you can help, contact me!

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Commentaires sur DSI, unissons-nous ! par Visioconférence et streaming libres – France Numérique Libre

Un blog furtif par Visioconférence et streaming libres – France Numérique Libre le 22/06/2025 à 16:27:00 - Favoriser (lu/non lu)

[…] de la réunion du collectif « Alpes Numérique Libre » du 26 mai 2023, Échirolles a expérimenté pour la première fois la prise de parole […]
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Commentaires sur Streamer son conseil municipal avec des logiciels libres par Visioconférence et streaming libres – France Numérique Libre

Un blog furtif par Visioconférence et streaming libres – France Numérique Libre le 20/06/2025 à 21:15:00 - Favoriser (lu/non lu)

[…] dans un article précédent, notre configuration repose sur des logiciels libres : OBS Studio est utilisé pour la […]
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Prophétie - La bulle de l’IA est-elle sur le point d’éclater ?

RSS | Usbek & Rica par Anonyme le 08/05/2025 à 10:42:00 - Favoriser (lu/non lu)

Alors que le marché de l'intelligence artificielle paraît plus florissant que jamais, certains chercheurs affirment qu'il pourrait bientôt s'effondrer. C’est notamment le cas du philosophe italien Luciano Floridi qui qualifie l’IA de « bulle technologique » - une bulle prête à éclater. Alors, l'âge d’or de l’intelligence artificielle serait-il déjà dernière nous ?
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Le pic de l’intelligence humaine est-il derrière nous ?

RSS | Usbek & Rica par Anonyme le 18/03/2025 à 16:23:00 - Favoriser (lu/non lu)

Dans les colonnes du Financial Times, le journaliste britannique John Burn-Murdoch s’interroge sur cette hypothèse, étayée par quelques études récentes... mais sujette à de nombreux malentendus.
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Commentaires sur Visioconférence et streaming libres par Diffusion vidéo en direct – France Numérique Libre

Un blog furtif par Diffusion vidéo en direct – France Numérique Libre le 12/03/2025 à 20:46:00 - Favoriser (lu/non lu)

[…] cette solution est couplée à BigBlueButton, notre solution libre de visioconférence, une intégration décrite dans un autre article. […]